vendredi 28 novembre 2014

Mes films de Noël 08 : Mickey, il était deux fois Noël

On nous gâte dans cette suite d'Il était une fois Noël avec cinq histoires plutôt que trois. Sans compter que le film est réalisé en image de synthèse plutôt qu'en dessin traditionnel, ce qui fait que les enfants d'aujourd'hui retrouve le Mickey d'aujourd'hui. Pas nous, par contre, loin de là, même.

La première histoire raconte une compétition de patinage artistique où s'affrontent Minnie et Daisy. La chicane prend à partir d'un malentendu (un peu cliché, ce truc des filles amies qui se divisent pour un malentendu). Ça finit bien et tout le monde est heureux, sauf moi, qui me demande si le film complet est à l'image de cette séquence d'ouverture.

Heureusement, ce n'est pas trop le cas.

La deuxième histoire nous montre comment s'y prennent Riri, Fifi et Loulou (les neveus de Donald) font pour remettre leurs noms sur la liste des enfants sage. Ils voyagent jusqu'au pôle Nord et, après quelques gaffes, comprennent que le secret, c'est de ne pas penser à soi.

Dans la troisième histoire, Dingo reçoit la visite de son fils Max, devenu adulte, et de sa copine. La pire crainte du fils est d'avoir honte de son père, mais il réalise bien vite qu'il aime son père pour ce qu'il est, et que ce sera aussi le cas pour celle qui l'aime, lui. (Tu comprends ce que je veux dire?)

La quatrième histoire nous présente un Donald qui aimera passer un moment tranquille en ce temps des fêtes hystériques. Pour cela, il croit qu'il doit se couper du monde, alors que c'est bien évidemment le contraire.

La cinquième et dernière histoire met en scène un Mickey Mouse préoccupé par la fête de Noël qu'il organise chez lui. Tellement, en fait, qu'il se fâche contre Pluto, qui a agit comme un chien (ce qu'il est, d'ailleurs). Pluto, honteux, fuit la maison et se retrouve au pôle Nord. Mickey retrouvera-t-il son chien? Comprendra-t-il que l'important n'est pas matériel? C'est ce que vous saurez en écoutant ce film avec vos enfants.

Parce qu'écouter ça sans enfant, c'est comme allez voir le père Noël sans les enfants, c'est impossible de l'apprécier.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire