jeudi 25 novembre 2010

Je ne vous oublie pas (non, jamais) Retour sur le Salon du livre de Montréal

Juste un petit mot pour vous dire que je ne vous oublie pas, je suis simplement dans les corrections par-dessus la tête (le Salon de Montréal m'a pris les heures que j'aurais dû consacrer à ma mise-à-jour en correction). C'est également pour ça que je n'ai pas beaucoup commenté de blogues ces jours-ci. Je prends malgré tout une seconde pour faire mon retour sur le Salon du livre de Montréal quelques jours après tout le monde.

Constats :
1- C'est pas avec trois séances d'une heure qu'on vend des livres quand on n'est pas connu du public. À ma table, pour deux séances (la 3e était le dimanche en fin d'après-midi, alors j'ai "foxé"), j'ai vendu un livre. Par contre, entre mes séances, à rester près du présentoir des Six Brumes et à parler aux gens de TOUS les titres disponibles chez nous, de notre approche, etc., j'ai vendu une dizaine de livres (en comptant le mien).

2- Les tables de Prologue ne permettent pas de vendre, même Gilles Duceppe et Edgar Fruitier perdaient de l'autorité, assis sur ces chaises basses et séparés de lecteurs par une trop grande distance.

3- La gang de la relève est vraiment une belle gang. J'ai croisé Jonathan Reynolds, Mathieu Fortin, Dominic Bellavance, Pierre H. Charron (et son adorable conjointe), Ariane Gélinas, Geneviène Blouin, Isabelle Lauzon et Gabrielle Syreeni. On va tenir le fort de la littérature de l'imaginaire d'une façon très 2.0, visiblement, mais les anciens n'en reviendront pas !

4- Le petit "happening" d'Alire était très sympathique. Ç'a été une occasion de jaser avec Benoit Bouthillette (que j'admire), Luc Dagenais (avec qui j'ai "cliqué" rapidement) et Jean Pettigrew (dont j'ai écouté les conseils avec stupeur et tremblements).

5- Un bonjour à la gang de Coup de tête, qui organisait eux aussi une petite réception dans laquelle je me suis brièvement glissée. Patrick Senécal, Laurent Chabin et Michel Vézina sont toujours aussi agréables à vivre que la dernière fois où je les ai croisés.

6- J'ai terminé mon samedi soir ailleurs que dans un pub qui servent des ailes de poulet parce que les Six Brumes étaient morcelés, mais ça m'a donné l'occasion de passer un peu de temps avec Guillaume Houle et sa blonde Isabelle (que j'ai été enchanté de connaître). J'ai joué le chaperon autour d'un souper asiatique où j'ai livré la preuve incontestable de ma difformité stomacale. Disons que j'ai bien mangé...

7- En rafale :
-Gilles Duceppe a une poigne moins ferme que je l'aurais pensé;
-Edgar Fruitier a de l'eau dans' cave (solide, à part ça);
-Marie Laberge aime vraiment beaucoup les bébés;
-Louis Hamelin a un bébé de même pas deux semaines;
-Yves P Pelletier est très gentil et porte des lunettes (pour son hypermétropie);
-Simon Olivier Fecteau et Billy Tellier son amis ont mangé avec India Desjardins;
-Ok, je pense que c'est suffisant, je commence à m'éloigner.

Au plaisir et, comme le dit si bien Céline, je ne vous oublie pas, non, jamais, vous êtes au creux de moi, dans ma vie, dans tout ce que je fais... ok, il faut encore que je m'arrête ;-)

Carl

lundi 15 novembre 2010

Mon avenir d'humoriste

Histoire vraie (qui dura vingt minutes)

Moi : Chérie, je pense que je pourrais peut-être aller en humour.

Ma blonde (larmes aux yeux) : Ha ha ha ha ha ha !

Moi : Pourquoi tu ris ?

Ma blonde (hyperventile) : Ha ha ha ha ha ha !

Moi : C'est pas une blague.

Ma blonde (tombe par terre et se tient les côtes) : Ha ha ha ha ha ha !

Moi : Sérieusement, qu'est-ce que t'en penses ?

Ma blonde (se redresse, sérieuse) : Non, mon amour, tu devrais continuer d'enseigner.