lundi 19 novembre 2012

Vendre son char

Non, je ne vends pas ma voiture. Au contraire, je suis en recherche, mais ça, c'est une autre histoire. Disons simplement que, dans le cadre de mes recherches approfondies de véhicules potables (entendons ici que je sélectionne "voiture" et que je passe chaque annonce en ordre croissant en espérant trouver un bijou à un prix ridicule), je suis tombé sur un lot de descriptions médiocres peu imaginables. Et je ne parle pas des erreurs de français que même une outarde sur le crystal meth ne ferait pas...

Heureusement, on tombe toujours sur une annonce qui nous réchauffe le coeur, une vraie de vraie. Honnête, authentique, mais qui risque peu de payer...

Je laisse donc la place à la personne anonyme qui a pondu ce bijou :

jeudi 15 novembre 2012

Pas avoir le câble, les "pros" et les "cons" (à lire en français)

Finalement, on n'a pas rebranché le câble.

L'ordinateur est monté en haut. Parmi les avantages, on retrouve :
- la possibilité d'écouter plusieurs séries que nous n'avions pas écouté plus tôt;
- l'occasion de travailler plus souvent sur mes textes;
- le retour de la dépendance aux courriels (on peut pas juste avoir du positif, là);
- le réflexe de vérifier plus souvent mon compte bancaire par Internet (et ça m'évite des frais, si vous saviez...);
- la découverte de chaînes comme lib tv, même si certaines émissions ne sont accessibles qu'aux abonnés de Vidéotron;
- mon modem a perdu du poids à force de chauffer à longueur de journée (pour une fois qu'y donne l'exemple, le gros tabouère);
- encore de l'argent à mettre ailleurs (ce qui fait pas de mal, je vous avoue).

mercredi 7 novembre 2012

Quand les projets achèvent (enfin)

Ah ! Ça fait du bien de voir les choses avancer.

J'ai écrit une nouvelle que je retravaillais à temps perdu et elle a fait son bout de chemin. Si je la retravaille comme il faut, elle se verra peut-être publiée. Message édité : la nouvelle a été acceptée et sera publiée en 2013 !

Le fameux projet secret sur lequel j'ai travaillé durant la dernière année (en trois phases intensives qui m'ont toutes rendu malade) est enfin terminé. Le titre est Véro et mes lecteurs bénévoles en feront la lecture dans les prochaines semaines afin que j'apporte les modifications nécessaires pour l'offrir à Noël à l'éditeur. C'est le manuscrit le plus long que j'aie écrit de ma vie. (Je sais, toi, tu trouves que 40 000 mots, c'est pas tant, mais je te jure que ç'a été une aventure hallucinante.)

Je me suis aussi mis à écrire pour ma fille - un classique de parent-auteur, je sais - et j'y ai pris goût. J'ai fouillé un peu Internet à la recherche des maisons d'édition qui cadraient avec mes thèmes... Fuck. C'est compliqué de s'y retrouver. Chaque place essaie d'être original avec des titres de collections représentatifs mais pas trop qui disent : « Enwèye, essaye de fitter dans ma collection pour voir ! »

J'ai pas fini avec les éditions jeunesses ! Pour un tome d'Harry Potter, je comprends qu'on envoie une copie manuscrite, mais, come on, pour un album de 300 mots, ça vaut-tu vraiment la peine de passer à travers le processus de la poste ? Sérieusement, l'enveloppe utilise plus de papier que le texte lui-même !

Si les revues acceptent de recevoir des nouvelles de 7 000 mots par courriel, ils peuvent se le permettre aussi, non ?

En tout cas, les affaires débloquent.