On continue de parler des Ducks. Le second film, quant à moi, reste le meilleur des trois.
Dans le deuxième film, Gordon (Emilio Estevez), inspiré par ses jeunes joueurs, s'est remis au hockey. Par contre, une blessure au genou le force à arrêter de jouer. Il se retrouve à la tête de l'équipe Team USA, où la plupart de acteurs du premier film se retrouvent aussi. En tant que Team USA, ils devront affronter d'autres pays, mais aucun ne leur résistera plus que l'équipe d'Islande. Le succès monte à la tête du coach, les joueurs perdent leur confiance... Ils ont besoin de se rappeler d'où ils viennent.
Beaucoup mieux que le premier. De l'humour, oui, mais aussi plusieurs moments inspirants et touchants. On met encore une fois de l'avant les contradictions et les imperfections des personnages. Le film est bien construit. Selon moi, sa structure est à l'origine de pas mal tous les films de hockey parus depuis.
Sérieusement, c'est une des meilleures finales de films de sport que j'ai vue de ma vie.
Petit extrait (français international...) ici.
Dans le deuxième film, Gordon (Emilio Estevez), inspiré par ses jeunes joueurs, s'est remis au hockey. Par contre, une blessure au genou le force à arrêter de jouer. Il se retrouve à la tête de l'équipe Team USA, où la plupart de acteurs du premier film se retrouvent aussi. En tant que Team USA, ils devront affronter d'autres pays, mais aucun ne leur résistera plus que l'équipe d'Islande. Le succès monte à la tête du coach, les joueurs perdent leur confiance... Ils ont besoin de se rappeler d'où ils viennent.
Beaucoup mieux que le premier. De l'humour, oui, mais aussi plusieurs moments inspirants et touchants. On met encore une fois de l'avant les contradictions et les imperfections des personnages. Le film est bien construit. Selon moi, sa structure est à l'origine de pas mal tous les films de hockey parus depuis.
Sérieusement, c'est une des meilleures finales de films de sport que j'ai vue de ma vie.
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