Ah! L'hiver. Au Québec, le froid est synonyme d'une bonne glace. Déjà, j'étire le cou en sortant de chez moi en espérant apercevoir si la patinoire derrière la maison est prête. Inutile de dire que l'arrivée de Noël me rappelle la trilogie mettant en scène de jeunes hockeyeurs et hockeyeuses plein de coeur.
Ce que j'aime de cette série, c'est qu'elle nous présente des personnages imparfaits. Après tout, le premier opus (!) nous présente un avocat au-dessus de ses affaires (Emilio Estevez) qui ne va coacher des enfants que parce qu'il y est forcé. J'aime beaucoup la relation paternelle créée entre le coach et le capitaine de l'équipe (Joshua Jackson). Encore aujourd'hui, le film donne le goût d'attraper ses patins et d'aller faire une partie improvisée.
Comme je l'ai écrit, le premier film, c'est la rencontre entre le coach sans coeur et les jeunes écervelés (qui semblent sans avenir). Ensemble, ils devront affronter l'équipe du district voisin, qui ne comprend que des jeunes bien nantis et performants (et sans honneur, bien sûr). On comprend que l'entraîneur a un passé de hockeyeur, qu'il est gentil, dans le fond, et qu'il a été traumatisé par son qui, quel hasard, est toujours à la tête de la fameuse équipe qu'ils affrontent en finale.
C'est un bon film, un peu trop gamin, parfois, mais idéal pour des enfants.
Bande annonce en version très française juste ici.
C'est un bon film, un peu trop gamin, parfois, mais idéal pour des enfants.
Bande annonce en version très française juste ici.
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