lundi 13 mai 2013

Mes sympathies aux conjointes d'écrivains (et conjoints d'écrivaines)

Des fois, t'aime tellement écrire que ça te fait métaphoriquement mal. La boule d'énergie qui te noue l'estomac t'empêche de te concentrer réellement sur ce qui t'entoure.

Je ne sais plus quel écrivain disait ça, mais il disait qu'être l'amoureuse (amoureux) d'un artiste, c'était accepter de passer la majorité de ta vie avec quelqu'un qui ne serait jamais qu'à moitié dans la même pièce que toi.

J'ai paraphrasé parce que je m'approprie cette réflexion. Et toi ?

4 commentaires:

  1. Tout à fait d'accord : on est pas souvent "là".

    D'un autre côté, partager la vie d'un informaticien veut dire passer la majorité de sa vie avec quelqu'un qui t'expliquera des notions complètement incompréhensibles la moitié du temps, donc... ;p (Je blague... à peine : j'commence à comprendre les explications maintenant! ;)

    RépondreSupprimer
  2. J'imagine ! Il faudrait que je demande à ma blonde : j'étais en informatique avant !

    RépondreSupprimer
  3. Réflexion tout à fait exacte! Par contre, puisque mon chéri est souvent brûlé mort et s'endort sur le divan (il ne dort pas assez, il se lève à 4 h 20 chaque matin), alors je me sens un peu moins coupable de mes "absences" passagères! ;)

    RépondreSupprimer
  4. C'est pour la même raison que je ne dis rien quand ma blonde est trop fatiguée pour rester réveillée ! Le problème, c'est qu'elle n'est pas là, vers 1 ou 2 heures du matin, pour me dire d'aller me coucher ;)

    RépondreSupprimer